La semaine dernière, nous avons célébré le troisième anniversaire du Jardin partagé de Kervanous. Le quotidien « Le Télégramme de Morlaix » a publié à cette occasion l’article suivant:
À Landivisiau, le Jardin partagé de Kervanous a soufflé ses trois bougies

Le 16 mars 2019 des représentants des Restos du Cœur, du Secours Populaire, du Secours Catholique, du Réseau Échanges Réciproques de Savoirs (RERS) et le responsable du Centre Leclerc de Landivisiau s’engageaient par convention et concrétisaient ainsi le projet de Jardin partagé de Kervanous. Ils se sont retrouvés trois ans plus tard, jour pour jour, pour fêter l’évènement.
Un lieu de rencontre et de solidarité
Le champ, à l’origine, couvert d’ajoncs s’est transformé en un beau jardin où il fait bon travailler mais aussi se retrouver. Durant ces trois années, les jardiniers ont accompli un travail remarquable de débroussaillage, mais aussi de composition du dessin du jardin en forme d’une feuille. Est venu ensuite le temps de la plantation des fruitiers, de la construction du cabanon et de l’installation des serres. Tout un art également, le fonctionnement de la zone compost indispensable pour améliorer petit à petit la terre en lui apportant la matière organique qui lui faisait défaut. Organiser le stockage d’eau de pluie pour l’arrosage, monter les buttes de permaculture, optimiser les plans d’assolement, soigner la ruche et sa colonie d’abeilles, mais aussi arracher des plantes envahissantes (rumex, liserons et chardons) qui recoloniseraient si vite l’espace, tout cela sans pesticides et dans un projet durable pour créer un espace de biodiversité ce n’est pas si simple ! En contrepartie, le plaisir des récoltes a été au rendez-vous des trois premières saisons et les premiers petits pots de miel du Jardin de Kervanous ont été confectionnés.
Avec l’aide d’étudiants
La relance du côté pédagogique du jardin (ralentie par la pandémie), avec l’aide d’étudiants mais aussi auprès des enfants, est l’un des objectifs prioritaires pour les mois à venir
source: Article du Télégramme